Brûler étapp ind afric | ECONOMIE CIRCULAIRE DU SAVOIR-FAIRE AFRIQUE-EUROPE

Le narratif positif

Brûler plusieurs étapes dans la transformation économique et sociale de l’Afrique grâce aux partenariats industriels internationaux

Le rôle des investisseurs étrangers, des PME industrielles africaines, des couches supérieures financières africaines
Créer par pays africain une équipe de cinq futurs animateurs des partenariats industriels internationaux
Le changement des mentalités 'grand public' aussi bien en Afrique qu’en Europe

L'émergence économique et sociale de l’Afrique ne pourra se traduire dans les faits que grâce à la transformation locale des matières premières facilitées par la participation d’un grand nombre de PME africaines dans des partenariats industriels avancés internationaux, tous secteurs économiques confondus et certainement les industries agroalimentaires.

Entrepreneur africain osez partager votre rêve avec des partenaires internationaux.
Entrepeneur européen osez dé-, colocaliser des activités manufacturièrs vers l'Afrique

Couche supérieure financière africaine osez investir dans une économie productive

L’industrialisation de l’Afrique. Comment?

Des solides investisseurs directs étrangers transforment à grande échelle les matières premières africaines en produits et services compétitifs et services associés sur les marchés internationaux;
des PME locales créent des partenariats avec de industriels internationaux;
la couche financière supieure africaine investit dans une économie productive en remplaçant leurs investissements dans le commerce et l’immobilier, créateurs de peu d’emplois formels.

Rôles respectifs: Investisseur étranger - PME locale - Elite financière africaine

L’industrialisation de l’Afrique. Atouts

D’énormes réserves de matières premières;
des énergies éternellement renouvelables;
des terres arables du monde;
du personnel qualifié, d’énormes ressources de main-d’œuvre motivées;
l’intégration dans les réseaux électroniques mondiales;
des ressources financières propres;
des démocraties émergeantes.

L'industrialisation de l’Afrique. Obstacles

Un manque de pratique des processus et technologies industrielles avancées
Des investisseurs étrangers frileux :
(1) les media internationaux montrent presqu’uniquement les ‘problèmes’ de l’Afrique (sur les 54 pays africains il y toujours un pays ‘en crise’) ;
(2) dans le contexte de la Responsabilité Sociétale de l’Entreprise des ONG et institutions ‘d’aide’ demandent de dons aux entreprises ; cette activité ne fait que renforcer le cliché de l’Afrique en permanent état de ‘besoin d’aide’ et dissuade l’entrepreneur d’y investir.
Un manque de familiarité des PME industrielles africaines pourquoi et comment forger des partenariats avec PME internationales plus avancées.
La couche supérieurs financière africaine investit surtout dans le commerce et l’immobilier résidentiel, créateurs de peu d’emplois formels.

Le changement des mentalités 'grand public' aussi bien en Afrique qu’en Europe

En Afrique

Une activité à court terme: CREER PAR PAYS AFRICAIN UNE EQUIPE DE CINQ ANIMATEURS DES PARTENARIATS INDUSTRIELS INTERNATIONAUX. Ces ‘animateurs’ organisent dans les centres les plus importants du pays des soirées-débats grand public ‘changement des mentalités’

Train-the-trainer des animateurs africains des partenariats industriels internationaux. PROGRAMME

Train-the-trainer des animateurs africains des partenariats industriels. RESULTATS ESCOMPTES
En Europe

Conscientiser le grand public du cette ‘autre Afrique’ « L’ AFRIQUE N'EST PAS CELLE QUE VOUS CROYEZ ». Lors de soirées-débats dans les hôtels de ville des jeunes professionnels africains ‘migrants circulaires’ témoignent de cette ‘autre Afrique’ et inspirent des solides industriels expérimentés de délocaliser des unités de production modernes en Afrique, tous secteurs confondus mais certainement en agro-business.

En Afrique

Conscientiser la PME africaine ‘pourquoi’ et ‘comment’ forger des partenariats industriels internationaux: « ENTREPRENEURS OSEZ PARTAGER VOTRE REVE AVEC DES PARTENAIRES EN INTERNATIONAL »

Partager des rêves avec des partenaires. Citations-Belgique

Conscientiser l’élite financière africaine ‘pourquoi’ et ‘comment’ investir dans l’économie productive.

Résultats escomptés

les témoignages d’entrepreneurs qui ont réussi dans les partenariats internationaux et des alumni ‘jeunes professionnels migrants circulaires’ inspirent les PME et l’élite financière de suivre leur exemple et
attirent l’attention des media, autorités et autres parties prenantes.

Observation: Stimuler la ‘sérendipité’

Faire une découverte par hasard et par sagacité alors que l'on cherchait autre chose. Ne pas étouffer les nouveau secteurs imprévisibles mais réellement porteurs.

C’est le solide investisseur expérimenté, moyennant ses propres moyens financiers, qui est le plus près des technologies galopantes et des nouveaux marchés porteurs, c’est lui qui est le mieux placé de décider dans quelle chaine de valeur il créera le plus grand nombre d’emplois de qualité.
Les agropoles ont de toute façon besoin d’une grande diversité d’industries (logistique, emballage, électromécanique, engrais, informatique, électronique, chimie, robotique, énergies, réseaux, drones, intelligence artificielle, …).
L’investisseur potentiel regarde surtout les disponibilités suivantes : (1) les matières premières ; (2) les compétences ; (3) des institutions stables ; (4) le futur pouvoir d’achat de la géographie ; …

Le rôle des investisseurs étrangers, des pme locales, des couches supérieures financières africaines

La délocalisation en Afrique de plusieurs industries manufacturières en provenance de pays économiquement plus avancées.

L’entreprise étrangère habitué d’opérer dans une économie ‘formelle’ et en synergie avec ses partenaires sociaux respecte aussi en Afrique les droits de l’homme et crée un nombre important d’emplois de qualité. En plus elle y prend avantage des énergies éternellement renouvelables.
L’entreprise moderne étrangère limite le nombre de ses dirigeants expatriés et les remplace par des cadres locaux et/ou de la diaspora. C’est dans cette entreprise aux processus et technologies avancées que les cadres locaux apprennent ‘le métier’ de l’entreprise moderne ouverte à l’impitoyable concurrence internationale.
Souvent des jeunes cadres après quelques années d’expérience de l’entreprise moderne s’installent à leur propre compte. Ce sont ces entreprises débutantes qui ont la plus grande chance de réussite. Le taux de réussite des ‘start-ups’ sans expérience ultérieure, malgré un accompagnement ‘professionnel’ dans les ‘pépinières d’entreprises’, est décevant faible.

La participation de cinq pourcent de toutes les PME industrielles endogènes africaines dans les ‘Chaines de valeur industrielles internationales’ (les partenariats industriels panafricains et internationaux)

C’est dans les solides chaines de valeur industrielles internationales que la PME locale apprend ‘le métier’ de l’industrialisation moderne.
Dans une première phase elle opère comme maillon spécialisée dans une chaine ‘orchestrée’ par une entreprise étrangère. Dans une seconde phase, après avoir appris le métier de la chaine internationale, l’entreprise africaine prend le rôle d’orchestrateur de sa chaine de valeur industrielle internationale et crée un plus grand nombre d’emplois de qualité dans son pays africain.

La couche financière supérieure africaine investit dans l’économie ‘productive’ en remplaçant ses investissements dans le commerce et l’immobilier résidentiel.

Il est suggéré d’organiser partout en Afrique dans les villes importantes des soirées-débats ‘grand public’ avec des témoignages d’entrepreneurs qui ont réussi dans les chaines de valeur industrielles internationales. Eux inspirent la couche financière supérieures africaine d’investir une partie de leurs ressources financières aussi dans une économie productive.