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Observations d’un citoyen européen
La contribution des partenariats massifs de PME industrielles d’intérêt mutuel Sénégal- Europe
Premier grand axe stratégique de l'agenda national
Valoriser pleinement nos ressources à travers une industrialisation ambitieuse, intégrant nos matières premières dans les chaînes de valeur mondiales. Nous transformerons nos richesses sur place, nous diversifierons notre économie pour en faire un véritable moteur de croissance, créateur de valeur ajoutée et d’emplois.
Bassirou Diomaye Diakhar FAYE
Président de la République du Sénégal (14/10/2024)
--> La mise en œuvre rapide du premier grand axe stratégique "l’industrialisation avancée et inclusive du pays" stimulera la réalisation des trois autres grands axes : la durabilité (les énergies renouvelables), l’équité sociale et la gouvernance.
Le transfert de technologies est dont nous avons besoin désormais.
Nous préférons qu’on nous apprenne à pêcher plutôt que de continuer à nous offrir du poisson
Premier Ministre Ousmane SONKO (11/10/2024)
--> Le Sénégal s’approprie avec la plus grande urgence et priorité les technologies et les pratiques de production innovantes et complexes des chaînes de valeur internationales. Non seulement à Dakar mais aussi dans les territoires.
Aucun pays n’est capable d’apprendre l’Afrique à pêcher. Les PMI africaines doivent apprendre à négocier un partenariat gagnant-gagnant et équilibré avec les partenaires internationaux. La PMI européenne a tout intérêt à nouer des partenariats gagnant-gagnant avec ses homologues africains. Dans le cadre de ces partenariats, la PMI africaine internalisera, sur le tas, les technologies et les processus des chaînes de valeur industrielles avancées. Vous ne pouvez pas apprendre cela à l’université ou dans les incubateurs d’entreprises.
Solution
Des partenariats massifs gagnant-gagnant entre des PME éprouvées, implantées sur l’ensemble du territoire sénégalais, et des PME internationales habituées à opérer avec succès dans une économie définitivement mondialisée et hyper-compétitive. La pratique des chaînes de valeur industrielles ne s’apprend pas à l’université, ni dans les incubateurs d’entreprises. Son appropriation ne s’apprend que sur le tas dans l’entreprise. (100 partenariats en 2025)
Obstacles
- En Europe : "L’Afrique n’est pas prête pour l’industrialisation moderne" (Une idée préconçue et erronée profondément enracinée dans le subconscient de l’Europe)
- Au Sénégal : "La peur de la domination étrangère" (Une peur réelle profondément enracinée dans le subconscient de l’Afrique basée sur les investissements étrangers dans les industries extractives africaines et le manque flagrant d’investissements européens dans les industries manufacturières modernes et formelles)
Remèdes : le changement des mentalités
- En Europe. (Belgique) ENABEL (les APD des pays UE) débloque 5 de ses 2.000 employés pendant 12 mois pour organiser 50 débats en soirée dans des mairies partout en Belgique sous le thème "L’Afrique n’est pas celle que vous croyez". Les gouvernements UE n’ont qu’à faire de la publicité pour l’Afrique, c’est tout!
- En Afrique. Les gouvernements organisent partout dans les régions du pays des soirées-débats dans les mairies sous le thème "Entrepreneur, osez partager votre rêve avec un partenaire international : pourquoi et comment réussir des partenariats gagnant-gagnant avec des homologues internationaux"
Conclusion du soussigné, citoyen européen, après avoir pris connaissance de "l'Agenda National de Transformation 2050" (14/10/2024).
- "L’Afrique est capable de réduire drastiquement, avec la plus haute priorité et l’urgence absolue, l’asymétrie de bien-être de tous ses citoyens entre l’Afrique et l’Europe".
- L’accélération de l’industrialisation productive et formelle de l’Afrique est également une condition sine qua non pour préserver le bien-être de nos propres petits-enfants en Europe. Un développement efficace basé sur un intérêt mutuel bien compris.
Le rêve ultime du citoyen européen afin de pérenniser le bien-être de ses petits-enfants en Europe : La "Communauté Afrique-Européenne de l’Industrie-Energivore” (cfr Schuman "La communauté européenne du charbon et de l’acier”: 74 ans de paix en Europe depuis 1950)
16/10/2024 karel.uyttendaele{@}pandora.be
Une recommandation du même citoyen européen "intéressé" après avoir pris connaissance d'une version préliminaire du 27/2024 "La Stratégie nationale de Développement 2025-2029 du Sénégal (version 27/9/2024).
L’importance d’un récit collectif pour inspirer les gens.
Accélérer l’endogénéisation de l’économie sénégalaise, dès 2025, grâce à 100 partenariats d’intérêt mutuel de PME industrielles sénégalaises-internationales.
(Une masse critique de PMI bien établies, pas de micro-nano entreprises)
Déjà en 2025, dans chaque territoire du Sénégal, appuyé par des services publics de qualité, une masse critique de PME bien-établies, tous secteurs économiques confondus, recherchent des partenariats avec des homologues internationaux. De cette masse critique de partenariats du privé se distingueront rapidement, par territoire, un nombre de moteurs de croissance qui mettent en place une croissance économique basé sur une augmentation de la productivité des activités et une diversification des exportations.
La complexité d’une économie mondialisée
L’économie définitivement mondialisée se caractérise par une concurrence implacable et des chaînes de valeur industrielles hyper-complexes. Au cours des 30 dernières années, grâce à la mise en place des chaînes de valeur internationales et de technologies fulgurantes, le revenu par habitant dans le monde a augmenté de 75 %. Dans une Afrique sous-industrialisée, le revenu par habitant a été limité à 25 %.
Plusieurs pays en développement, comme la Malaisie et le Vietnam, ont réussi à réduire rapidement l’écart de bien-être entre leurs citoyens et les pays industrialisés en attirant des IDE (des investisseurs directs étrangers). La grande capacité d’investissement et d’innovation de ces derniers, leur envergure et leur structure opérationnelle leur permettent d’être compétitives sur les marchés internationaux. Ils opèrent d’office dans l’économie formelle et stimulent la productivité nationale et l’ensemble de l’écosystème économique vers le haut. C’est dans ces entreprises que les cadres locaux, sur le tas, s'internalisent la pratique des processus industriels complexes et de leurs technologies de pointe. Des compétences que l’on n’acquiert pas à l’université ou dans les incubateurs d’entreprises.
Endogénéiser l’économie de l’Afrique
Souvent, après quelques années de pratique, des cadres locaux des géants multinationales s’installent à leur propre compte et endogénéisent encore plus l’économie locale. Aussi les partenaires PMI en amont et en aval des flagships IDE s’internalisent les processus et technologies de pointe des IDE. D’où, en l’absence d’investisseurs étrangers, l’importance pour l’Afrique de partenariats massifs de PME africaines établies avec des homologues industriels internationaux performants, rompus aux normes, standards, innovations, technologies et processus des chaînes de valeur industrielles internationales.
La sérendipité
En outre, la massive fertilisation croisée entre des entrepreneurs de différentes cultures et continents, chacun avec ses propres compétences spécifiques, stimule la création de la sérendipité; la découverte fortuite d’un trouvaille, sans la chercher, qui s'avère ensuite fructueuse.
- PS. Un aperçu des quelques messages forts de "La Stratégie Nationale de Développement 2025-2029" tels que perçus par l’auteur de ce message
Promouvoir un développement endogène et durable, porté par des territoires responsabilisés, viables et compétitifs, jetant les bases de la souveraineté nationale.
Un secteur privé national fort avec le soutien de l’Etat régulateur, l’appui de services publics de qualité et un secteur financier plus actif polarisent une masse critique de populations au niveau des terroirs et mettent en place une croissance économique basé sur une augmentation de la productivité des activités et une diversification des exportations.
Le manque de compétitivité du secteur industriel formel est une cause majeure de la croissance économique du pays, qui est trop faible pour créer suffisamment de nouveaux emplois et réduire le déficit public. La structure opérationnelle, la grande capacité d’investissement et d’innovation des entreprises étrangères établies leur permettent d’être compétitives sur les marchés internationaux. Le budget national n’est pas un outil du développement économique. Des entrepreneurs sénégalais, de l’ensemble du territoire sénégalais, doivent identifier les secteurs industriels, tous secteurs économiques confondus, qui seront les moteurs de la croissance. En outre, le pays doit développer une stratégie pour attirer davantage les capitaux étrangers, en particulier les Investissements Directs Etrangers.
30/9/2024 karel.uyttendaele{@}pandora.be
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