L'injustice faite à l'Afrique dont on ne parle pas

Le potentiel sous-estimé de l'Afrique pour une industrialisation moderne

Méconnaissance des atouts africains en 2025

L'Afrique dispose, en 2025, d'atouts immenses pour le développement d'une industrialisation moderne à forte intensité de main-d'œuvre. Cependant, ces avantages restent largement méconnus. Cette méconnaissance freine la prise de conscience de la contribution positive que le continent africain pourrait apporter pour aider à surmonter la polycrise sans précédent qui affecte aujourd'hui l'ensemble de la population mondiale. Cette polycrise englobe de nombreux défis majeurs tels que le changement climatique, les pandémies, les conflits, les guerres commerciales, le nationalisme et la surpopulation en Afrique.

Un récit dominant peu valorisant

La perception de l'Afrique dans les médias occidentaux traditionnels est largement influencée par de nombreux promoteurs bien intentionnés des « ODD-RSE-Droits de l'homme ». Ce récit dominant laisse entendre que l'Afrique ne serait pas prête à accueillir des investissements industriels modernes. Pourtant, ces investissements sont non seulement réclamés par l'Afrique elle-même, mais ils représentent également une opportunité dont le reste du monde – et particulièrement l'Europe voisine – pourrait tirer un bénéfice considérable.

Rien de négatif à propos des 'ODD & Droits de l'homme', bien au contraire. Cependant, l'association excessivement sélective de ceux-ci avec 'l'Afrique' constitue un obstacle à l'industrialisation inclusive et durable de l'Afrique ainsi qu'à la contribution de l'Afrique à la limitation des problèmes mondiaux tels que le climat, les pandémies, les conflits, la migration forcée et les guerres commerciales.

The Africa story line of mainstream media is captured by ODA specialists and institutions devoted to aid

Carlos Lopes, African Union High Representative EU Post-2020 Partnership (2019)



Défis mondiaux 2026 (pour nos enfants et petits-enfants)

  • réchauffement climatique;
  • pandémies et catastrophes naturelles ; (incendies de forêt, invasions de criquets, …) ;
  • vieillissement de l'Occident & de la Chine ;
  • explosion démographique en Afrique ; (migration forcée);
  • asymétrie de prospérité Europe-Afriqueguerre en Europe
  • nationalisme croissant ; (lutte pour la domination mondiale ‘Chine-États-Unis’) ;
  • Chine, usine du monde, maillon crucial/fragile dans les chaînes de valeur internationales ;
  • l'Occident n'est pas le monde entier : deux tiers de la population mondiale vivent dans des pays qui soutiennent l'invasion russe en Ukraine ou qui sont neutres

Les atouts « anno 2025 » d'une quinzaine de pays d'Afrique subsaharienne (*)

avec des institutions relativement stables pour une industrialisation moderne

indépendamment de qui prend l'initiative : investisseurs directs étrangers, PME locales ou partenariats entre PME industrielles africaines et européennes)


Atout #1 Afrique : dividende démographique instruit

Bombe à retardement --> Moteur de nouvelle prospérité

L'Afrique en 2035 : Vers une puissance économique et sociale majeure

Une population hautement qualifiée et dynamique

En 2035, l'Afrique comptera autant de personnes hautement qualifiées, en âge de travailler, que la Chine. Cette évolution démographique place le continent au cœur de la croissance mondiale, représentant 25 % de la population active de la planète. Cette force vive, composée d'ingénieurs, d'économistes, d'agronomes et d'informaticiens, témoigne de l'émergence d'une large classe moyenne instruite, moteur de l'innovation et du développement économique.

Des ressources abondantes et une énergie propre

L'Afrique bénéficie de ressources naturelles abondantes, notamment dans les secteurs de l'agro-industrie. L'accès à une électricité solaire bon marché, respectueuse du climat et renouvelable, ainsi qu'au développement de l'hydroélectricité, garantit une alimentation énergétique durable et accessible sur l'ensemble du continent

Des institutions consolidées et une gouvernance améliorée

Les institutions africaines affichent une stabilité relative, avec des niveaux de corruption et de népotisme qui ne sont pas significativement plus élevés qu'en Occident. Cette amélioration de la gouvernance favorise un environnement propice à l'investissement et à la croissance durable.

L'intégration régionale et l'essor industriel

Le marché commun africain, en plein développement, constitue un levier majeur pour la croissance économique. À l'horizon 2050, l'Afrique représentera un quart de la population active mondiale. Les zones industrielles dynamisées par des coûts salariaux compétitifs renforcent l'attractivité du continent pour les investisseurs internationaux.

La transformation numérique et la modernisation des chaînes de valeur

La couverture internet 4G atteint 95 % de la population, facilitant l'interactivité avec de nombreux partenaires internationaux et la numérisation des chaînes de valeur. La production s'inscrit dans une logique de chaîne courte, respectueuse du climat, adaptée aux marchés locaux et régionaux.

Un secteur financier en pleine expansion

L'Afrique voit émerger une importante strate financière, avide d'opportunités d'investissement. Cette dynamique participe à la stimulation d'une première vague d'industrialisation moderne, générant un cercle vertueux : une classe moyenne plus nombreuse et engagée promeut l'éducation pour tous, accroît le pouvoir d'achat, stimule l'innovation, attire de nouveaux investissements et favorise l'approfondissement de la démocratie.


Les avantages pour les investisseurs industriels de l'Union européenne en Afrique

Un marché au potentiel considérable

L'Afrique représente, à l'horizon 2035, un marché d'une ampleur exceptionnelle, puisqu'elle comptera près d'un quart de la population active mondiale. Ce dynamisme démographique offre aux investisseurs industriels de l'Union européenne des opportunités de croissance uniques, dans un espace en pleine expansion économique.

Proximité géographique et culturelle

Le continent africain est le voisin immédiat de l'Europe, partageant le même fuseau horaire, ce qui simplifie les échanges et la coordination des activités. De plus, des liens culturels et historiques forts subsistent entre de nombreux pays africains et leurs anciens colonisateurs européens. Beaucoup de familles africaines aspirent, à tort ou à raison, à voir leurs enfants accéder à un mode de vie inspiré du modèle occidental.

Partenariats innovants et transfert de connaissances

La collaboration avec les petites et moyennes entreprises africaines permet de développer une innovation frugale, favorisée par le transfert de savoir-faire entre les deux continents. Ce processus encourage l'émergence de solutions adaptées aux réalités locales et offre un avantage compétitif aux investisseurs européens.

Facilités de rapatriement des bénéfices

Les investisseurs bénéficient de la possibilité de rapatrier leurs bénéfices, soutenue par l'offre de quinze dirigeants africains démocratiques et de leur base de soutien au sein de la société civile. Cette dynamique crée un environnement propice aux activités industrielles européennes sur le continent.

Construction d'un partenariat géopolitique solide

L'établissement d'un partenariat informel mais efficace entre l'Afrique et l'Europe permettrait aux deux régions de peser davantage dans les discussions mondiales sur des enjeux majeurs tels que le climat, les pandémies, le libre-échange ou les défis démographiques africains. Ce rapprochement renforce la position géopolitique de l'Union européenne.

Préserver l'influence européenne en Afrique

Enfin, investir en Afrique permet de ne pas laisser le continent sous l'influence exclusive d'autres puissances telles que la Chine, l’Inde, les Émirats arabes unis, la Turquie, la Russie, ou le Maroc. Il s'agit donc aussi d'un enjeu stratégique pour l'UE.


Avantages pour l'Afrique

Industrialisation moderne et démocratisation adaptée

L’accélération de l’industrialisation moderne, associée à une forme de démocratisation spécifiquement pensée pour l’Afrique, offre des avantages considérables au continent. En effet, lorsque les 10 à 15 premiers « pays modèles » africains adoptent ces stratégies, ils deviennent des exemples inspirants pour leurs voisins qui traversent des périodes d’instabilité. Cette dynamique encourage les autres nations à suivre, de façon autonome, la voie tracée par ces précurseurs.

Impact sur la croissance démographique

La croissance économique généralisée ainsi que la prospérité qui en résultent jouent un rôle majeur dans la régulation de la démographie africaine. En effet, l’amélioration des conditions économiques et sociales contribue naturellement à désamorcer la problématique de la croissance démographique rapide.

Rôle des entreprises industrielles modernes

Les entreprises industrielles modernes jouent un rôle essentiel en tant que véritables « écoles de gestion » pour leurs cadres, mais aussi pour leurs fournisseurs, leurs partenaires PME et les entrepreneurs en phase de démarrage. Elles constituent des lieux d’apprentissage privilégiés où les compétences en gestion et en organisation se développent de manière concrète et efficace.

Il convient de souligner que la pratique de l’entrepreneuriat industriel moderne ne s’acquiert pas à l’université, ni dans les pépinières d’entreprises, ni à travers des actions ponctuelles de renforcement des capacités menées par des « experts » occidentaux. C’est dans le cadre de l’activité industrielle elle-même que les futurs dirigeants et entrepreneurs assimilent véritablement les savoir-faire nécessaires à la réussite.


Impacts et opportunités liés au transfert de savoir-faire industriel vers l’Afrique

Avantages globaux pour la planète

Climat, biodiversité, pandémies, catastrophes naturelles, conflits, libre-échanges

La déglobalisation de la production et la globalisation du savoir-faire, en favorisant des chaînes courtes pour la circulation des personnes et des biens tout en maintenant la mondialisation du savoir-faire, présente plusieurs bénéfices majeurs à l’échelle mondiale. Tout d’abord, le transfert continu de compétences industrielles vers l’Afrique encourage la transformation locale des matières premières. Cette dynamique, au sein de chaînes courtes destinées aux marchés locaux et voisins, permet de réduire considérablement les distances de transport, les émissions de CO2, ainsi que la propagation des virus liés aux déplacements de personnes.

Effets sur la démographie et l’empreinte écologique

L’amélioration du bien-être en Afrique, stimulée par ces transformations industrielles, contribue à limiter l’explosion démographique et diminue l’empreinte écologique du continent. Ce phénomène s’explique par l’accès accru à des conditions de vie meilleures et à des opportunités économiques qui favorisent une transition démographique plus harmonieuse.

Énergies renouvelables et infrastructures adaptées

En Afrique, les industries agroalimentaires et manufacturières modernes tirent parti de sources d’énergie renouvelables telles que l’hydraulique, le solaire et l’éolien. Ces solutions décentralisées et hors réseau se révèlent pérennes et économiques, tout en évitant le recours à des infrastructures coûteuses et polluantes comme les lignes à haute tension.

Biodiversité et lutte contre la désertification

L’utilisation de pompes solaires et de systèmes d’irrigation innovants permet de créer de nouvelles terres agricoles, de procéder à des reboisements et de combattre la désertification. Ces pratiques favorisent une meilleure préservation de la biodiversité et une gestion durable des ressources naturelles.

 

Stimulation de l’innovation en Occident

La relocalisation de l’industrie manufacturière vers l’Afrique incite les pays occidentaux à accélérer leur innovation, particulièrement dans les domaines liés à une économie bas carbone et au développement de nouvelles technologies, comme la production de biens plus facilement recyclables. Cette dynamique, cependant, n’inclut pas le nucléaire ni la capture du carbone, et pose un exemple inspirant pour l’Afrique.

Émergence d’une classe moyenne et dynamiques vertueuses

La hausse du bien-être en Afrique favorise la montée d’une classe moyenne instruite. Ce changement entraîne une boucle positive d’investissements et d’innovations, renforçant le développement économique local. L’exemple africain encourage, à l’échelle mondiale, une répartition plus équilibrée de la production avancée, privilégiant les chaînes courtes et la proximité avec l’utilisateur final.

Construction d’un nouveau bloc géopolitique

Les investissements industriels européens en Afrique stimulent la formation d’un partenariat puissant entre les continents. Ce bloc géopolitique, lors des négociations internationales, a le potentiel de convaincre les dirigeants mondiaux, y compris ceux des États-Unis et de la Chine, de la nécessité de mesures impopulaires mais indispensables pour la sauvegarde de la planète : taxation des émissions de CO2, régulation de la consommation (notamment de viande), reforestation, gestion de l’urbanisation et de la démographie. Il apparaît ainsi que la réussite de la transition climatique exige une collaboration entre tous les pays et continents, aucun ne pouvant agir seul de manière efficace.


Résoudre les lacunes de l'Afrique

Une quinzaine de pays d'Afrique subsaharienne disposent déjà aujourd'hui des infrastructures, des institutions et d'une masse de main-d'œuvre motivée qui souhaite progresser. Ces pays peuvent également compter sur un nombre suffisant d'ingénieurs et d'économistes hautement qualifiés, formés par des professeurs détenteurs d'un doctorat occidental. Cependant, ils manquent d'expérience pratique avec des processus industriels avancés pour transformer localement les ressources naturelles africaines en produits compétitifs et exportables. C'est pourquoi les décideurs politiques et la société civile de ces pays « stables » font appel à des investisseurs directs étrangers solides et/ou à des partenariats entre des PME industrielles d'Afrique et des pays plus développés. Les investissements directs étrangers et les partenariats industriels transfèrent de manière permanente des processus et des technologies industrielles modernes et fonctionnent comme des écoles de gestion pour les cadres et les partenaires. C'est pourquoi les décideurs politiques de ces pays « stables » offrent aux investisseurs étrangers la possibilité, si désiré, de rapatrier les bénéfices. Ils savent que la nouvelle « expérience » industrielle (savoir-faire) restera de toute façon ancrée dans leur pays.


Conclusion

Investisseurs Africains & UE lancent un Plan Marshall Industriel ‘avec’ l’Afrique

Dans ces nouveaux temps « post » Corona, transition climatique, guerres, conflits commerciaux, de nombreux pays occidentaux connaissent des difficultés économiques. Ne pas agir et hésiter à encourager avec insistance à la fois les entrepreneurs africains et européens à « lancer ensemble un Plan Marshall industriel avec l'Afrique » conduit cependant à plus de pauvreté, plus de radicalisation, plus de migrations forcées, plus de réchauffement climatique, plus de pandémies, plus de nationalisme et de guerres commerciales, … Agir au contraire relance aussi l'économie européenne.

 

Les entreprises industrielles européennes phares qui investissent massivement en Afrique et établissent des partenariats dans les industries agroalimentaires et manufacturières avancées, dans les services associés et dans les infrastructures, réalisent les objetifs suivants :

Entreprises phares industrielles solides de l'UE qui investissent massivement en Afrique et établissent des partenariats dans les infrastructures modernes ainsi que dans les industries agroalimentaires et manufacturières avancées et les services connexes: 

  • aider à maîtriser le réchauffement climatique, les pandémies et les migrations forcées;
  • endiguer l'abondance de chaînes de valeur mondiales complexes et risquées;
  • servir d'écoles de gestion permanentes pour les PME : des décennies de conseils de « experts » occidentaux et de prêts homéopathiques aux start-ups n'ont pas eu d'impact tangible sur la société africaine;
  • responsabiliser la importante couche financière africaine pour investir dans une économie productive plutôt que dans le commerce peu exigeant en main-d'œuvre et l'immobilier résidentiel;
  • stimuler l'émergence d'une classe moyenne africaine consciente et capable de réaliser les ODD en interne; sans conseils de l'Occident;
  • créer un marché émergent énorme (25 % de la population mondiale active), également pour les produits et services haut de gamme de l’UE ;
  • empêcher la Chine de s’implanter complètement en Afrique, continent voisin de l’UE, avec des liens historiques et culturels;
  • renforcer le rôle géopolitique de l’UA et de l’UE, également pour les droits de l’homme et le libre-échange (Europe and Africa can change global politics in a ‘revolutionary’ way, F. Mogherini, 8/11/2018).
  • relancer l’économie en Europe (l’Afrique devient un nouveau marché pour les produits et services haut de gamme de l’UE) ..
  • ...

(*) Des contacts en 2023-2024 avec plus de 200 entrepreneurs belges, néerlandais, français et allemands ont révélé que seuls cinq entrepreneurs étaient capables de citer trios des 15 pays d'Afrique subsaharienne qui, selon The Economist Democracy Index 2023 Sub-Sahara Africa, ont acquis un certain degré de démocratie et de stabilité : 1. Mauritius; 2. Botswana; 3. Cabo Verde; 4. South Africa; 5. Namibia; 6. Ghana; 7. Lesotho; 8. Malawi; 9. Madagascar; 10. Senegal; 11. Zambia; 12. Liberia; 13. Tanzania; 14. Kenya; 15. Sierra Leone; 16. Uganda; 17. The Gambia; 18. Côte d’Ivoire; 19. Benin; 20. Nigeria. En tous cas, il est recommandé de collaborer avec un partenaire industriel local. Il connaît le mieux la situation et partage tous les risques entrepreneuriaux. Il est également conseillé de se familiariser avec les personnalités et les ateliers respectifs, tant en Afrique qu'en Belgique.

(**) En savoir plus :

 

Mise à jour 27/10/2025  karel.uyttendaele{@}pandora.be

 


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